"L'humour de The Breakfast Club, le rythme de Ocean's eleven" disait la jaquette. Ou ce sera au moins un film distrayant, ou le type qui a écrit ça a un culot monstre, me suis-je dit en louant The Perfect Score.
Soyons franc, il a un culot monstre, mais on pourra accorder à ce film une valeur informative, puisque j'y ai appris que la sélection des universités aux USA reposent en partie sur un test appelé SAT, pour "Scholastic Assessment Test", une sorte de QCM de 75 minutes avec des questions de grammaire, de maths, etc..., et que les relations entre les personnages et les dialogues reposent essentiellement sur des clichés, qui donnent certes une image de l'adolescence américaine telle qu'elle se perçoit elle-même, mais qui comportent certainement une part de vérité.
Je vais essayer d'en donner une illustration: on peut trouver dans ce film le dialogue suivant:
Desmond Rhodes: [trying to explain why SAT is racist] Who created the test? Rich white guys. Who scores the highest on the test?
Roy: Asian chicks. Middle class Asian chicks that watch less than one hour of television a day. They can't drive, but they can take the shit out of the SATs.
Si on regarde maintenant le cours pour undergraduate de Circuits et Electronique du MIT (je crois que c'est dans la video du 2nd cours), on y voit le professeur poser une question et demander un volontaire pour aller au tableau. Qui y répond ? Une jeune asiatique qui était assise au premier rang.
On pourra en déduire ce que l'on veut, ce n'est peut-être qu'une coincidence...
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